
À 34 ans, cette maman d’une petite fille, domiciliée à Nuits-Saint-Georges, a fait le choix d’une reconversion.
« J’ai d’abord eu peur. Je pensais que c’était un métier difficile physiquement, mais j’ai rencontré des personnes qui ont cassé ces idées reçues. » À commencer par son frère, professeur de mécanique auto. « L’équipe pédagogique est vraiment top, c’est un bol d’air frais quand je viens. » Le constat est d’autant plus heureux que Valérie n’est pas un cas isolé. L’établissement a en effet pour mission régulière de remettre en selle des adultes qui, à la croisée des chemins, ont choisi de changer de vie.